Cette année a amené un lot de défis à tous les voyageurs du Québec. Avec le voyage à l'international rendu impossible, plusieurs se sont rués vers la Gaspésie et Charlevoix. Longs temps d'attente, toilettes fermées, impossibilité de trouver un hébergement, même les cyclotouristes ne l'ont pas eu facile. Que faire alors pour s'évader de la ville à vélo sans se trouver sur une plage bondée de touristes?
L'essor du bikepacking
Depuis quelques années, une nouvelle discipline du cyclotourisme est apparue au Québec tout comme ailleurs. Il s'agit d'utiliser un vélo de montagne ou encore mieux, un « vélo gravelle » mieux adapté aux conditions variables des routes forestières. Le « bikepackeur » utilise une autre configuration de sacoches et voyage plus légèrement que le commun des touristes à vélo. Étant déjà équipé pour le cyclotourisme, je ne voulais pas trop dépenser pour une nouvelle discipline, ne sachant pas si j'allais aimer cela. J'ai alors décidé de fusionner ma passion avec mon nouvel intérêt, pour en former ma version du bikepacking, soit le cyclotourisme de brousse, expression que je n'ai par contre pas inventée!
Qu'est-ce qui distingue le ou la cyclotouriste de brousse qui veut partir dans le bois sans se rééquiper?
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