D'ici quelques semaines, environ une vingtaine de fiers Montréalais et Montréalaises rejoindront le rang des guides touristiques travaillant fort à faire visiter et rayonner leur ville à des milliers de touristes. Si, il y a quatre ans, j'avais de l'ambition à profusion, je me posais aussi plusieurs questions auxquelles je n'avais pas de réponse. Suis-je prêt? Quoiqu'il soit impossible de tout apprendre sur notre ville en sept mois, j'ai personnellement pensé que la formation m'a bien préparer pour mon métier. Nous avons pu pratiqué plusieurs fois à guider une petite portion d'une visite à pied ou en autocar. Notre cours d'histoire nous a bien muni d'informations, par contre j'aurais apprécié un peu plus de renseignements sur les Premières Nations qui habitent dans les régions avoisinantes ainsi qu'à Montréal. Heureusement, l'ITHQ vient d'annoncer quelques changements pour la prochaine formation de guides.
0 Commentaires
En septembre dernier, j'ai relaté dans ma foire aux questions que la plupart des guides touristiques ne pratiquent pas leur métier en hiver, si ce n'est que pour faire quelques contrats. En octobre dernier, je me suis mis à la recherche d'un nouvel emploi saisonnier qui me permettrait d'arrondir mes fins de mois tout en gardant mon cerveau actif et motivé. C'est alors à la fois avec hésitation et trépidation que j'ai dépoussiéré mon brevet d'enseignement jamais utilisé, et que j'ai postulé pour la banque de candidature d'une des cinq commissions scolaires de l'agglomération montréalaise. Puisqu'il y a une pénurie de professeurs, la commission scolaire de mon secteur géographique et linguistique embauche présentement des enseignants non légalement qualifiés. Le processus d'embauche - la course vers l'enseignement Tout est arrivé très vite le 22 octobre dernier! Près de quatre minutes se sont découlé entre l'envoi de mon CV et leur appel téléphonique. Ils voulaient que je passe l'entrevue téléphonique le lendemain, mais je n'étais pas disponible avant le 29.
30 octobre : un jour après l'entretien, on me demande d'envoyer des documents «afin de poursuivre le processus de recrutement». 1 novembre : je suis déjà admis à la commission scolaire (conditionnel à la vérification de mes antécédents judiciaires), tout en étant invité à la prochaine séance d'engagement! 2 novembre : on prend l'occasion pour m'inviter à recommander d'autres candidats. Je ressens déjà leur exaspération quant à la pénurie de main-d’œuvre. 6 novembre : en sortant de la séance d'engagement, le téléphone sonne. La répartitrice m'offre du travail dans une école primaire pour le lendemain. Quoique mon diplôme consiste d'un bac en enseignement au primaire, j'ai postulé dans le but de travailler dans le secteur secondaire. Je décline gentiment l'offre. 16 novembre : après quelques journées où d'autres éléments ont préoccupé mon temps, j'ai visité deux écoles, dont celle de mon quartier, pour y amener mon CV et rencontrer les secrétaires. C'est la procédure à suivre pour travailler avec les adolescents. Il faut alors effectuer une tournée des écoles qui intéressent le suppléant potentiel. 19 novembre : en visitant la 4e école, on me demande de revenir dans deux jours pour effectuer une journée de suppléance. |
Masques festifs à vendre!
Nouveau site web -
|