D'ici quelques semaines, environ une vingtaine de fiers Montréalais et Montréalaises rejoindront le rang des guides touristiques travaillant fort à faire visiter et rayonner leur ville à des milliers de touristes. Si, il y a quatre ans, j'avais de l'ambition à profusion, je me posais aussi plusieurs questions auxquelles je n'avais pas de réponse. Suis-je prêt? Quoiqu'il soit impossible de tout apprendre sur notre ville en sept mois, j'ai personnellement pensé que la formation m'a bien préparer pour mon métier. Nous avons pu pratiqué plusieurs fois à guider une petite portion d'une visite à pied ou en autocar. Notre cours d'histoire nous a bien muni d'informations, par contre j'aurais apprécié un peu plus de renseignements sur les Premières Nations qui habitent dans les régions avoisinantes ainsi qu'à Montréal. Heureusement, l'ITHQ vient d'annoncer quelques changements pour la prochaine formation de guides.
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Parler de la météo, c'est ce qu'on fait quand on rencontre la belle famille pour la première fois, et on ne sait pas quel sujet aborder. Rien de controversé avec ça, non? Je dois avouer que lorsque la personne devant moi mélange grésil avec grêle, il m'arrive de grincer mes dents face à cette incongruité scientifique. Quels sont des mythes souvent propagés par les gens en général? 1. C'est l'automne. Il pleut beaucoup.Si l'on parle de précipitations sous forme liquide et solide, ce n'est pas tout à fait faux. En ordre décroissant, on a novembre (96 mm), aout (94 mm) et octobre (91 mm). Par contre, mis à part février et mars où l'on reçoit moins de 70 mm de précipitations, il n'y a pas d'énorme différence entre la quantité reçue à l'automne versus les autres mois de l'année.
Si l'on ne regarde que la pluie, et qu'on exclut la neige, nos trois mois gagnants sont aout (94 mm), juillet (89 mm) et octobre (89 mm). Notre mythe est alors un mensonge. Voici six questions qu'on me pose souvent par rapport à mon métier de guide touristique de ville. J'aime raconter qu'aucune question n'est niaiseuse, par contre, j'avoue que la première l'est un tout petit peu. Sans tarder, commençons! Qu'est-ce que tu fais comme travail? En plein milieu d'un tour guidé à pied, un client me pose cette question, comme si j'étais en train de faire du bénévolat. Il s'est rendu compte assez rapidement que sa question n'avait aucun sens. Une question plus intelligente s'agit de celle me demandant si j'ai un deuxième boulot. Il est possible de guider à temps plein pendant la saison touristique, et d'avoir assez de travail pour 6 à 7 mois, mais plusieurs ont un deuxième boulot sur le côté. Personnellement, j'ai essayé les deux, et il y a des avantages et des inconvénients avec chaque façon de faire.
Le tourisme à Montréal est en effervescence! C'est bien ça, le tourisme est à la hausse depuis plusieurs années. Selon la Ville, 11 millions de touristes nous ont rendu visite en 2017. Ce qui suivra est une généralisation des catégories de touristes que vous croiseriez dans le Vieux-Montréal ou au centre-ville cette année. Tous les personnages sont fictifs. Kaitlyn, 14 ans, en voyage scolaire. Origine : banlieue de Toronto. Et si le mont Royal était un volcan actif, d'abord? Mieux vaut commencer par une mise en garde : le mont Royal n'a jamais été un volcan. Il s'agit plutôt d'une montée de magma qui n'a pas réussi à voir la lumière du jour. Le scénario qui suit est alors 100 % fictif. Puisque notre montagne fait partie d'une chaine de collines, les Montérégiennes (10 sommets et 3 intrusions), on va imaginer que l'activité volcanique pourrait surgir n'importe où parmi les autres points chauds de la région, soit de Saint-André en Argenteuil jusqu'au mont Mégantic en Estrie. Davantage de volcans, davantage de scénarios intéressants! Rappel : ce scénario est FICTIF! En 2016, j'ai créé un «documenteur» sur le sujet, à l'aide de quelques amis et collègues. L'histoire rapportée dans la vidéo diffère légèrement de ce qui est décrit en bas. |
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